Construits au cours de l’année 1943, à la suite de l’invasion de la Zone Sud par la Wehrmacht, elle-même conséquence immédiate du débarquement allié en Afrique du Nord française, ils constituaient un ensemble relativement impressionnant autour de Saint Mitre.
On en dénombre aujourd’hui au moins une trentaine. Désarmés après la Libération de 1944, la plupart sont aujourd’hui dans des propriétés privées.
Certains, à Varage ou à Saint Blaise, sont parfaitement visibles, d’autant que l’incendie de l’été 2020 a permis de faire réapparaitre ceux qui étaient enfouis sous la végétation.
